Les vacances sont derrière nous, les jours raccourcissent, les feuilles tombent, la pluie d’automne remplace le soleil d’été et les premiers microbes de la saison font leur nid dans les rames du métro. Pour certains, ces changements sont le signe d’une période difficile de l’année. Nous sommes nombreux à souffrir de ce que les médecins nomment SAD, syndrome affectif saisonnier, du moins dans sa forme bénigne. Mais ce n’est pas une fatalité. Il existe des moyens non-médicamenteux pour passer sans heurt la morne saison.

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kit okked installé dans un salon d'un appartement

Dans les pays nordiques où la luminosité est extrêmement faible en hiver, le syndrome affectif saisonnier touche une grande partie de la population. Sous le cercle polaire, les nuits n’en finissent plus et ce manque de luminosité a des conséquences néfastes sur le rythme biologique de nos organismes. Sans une exposition régulière aux rayons du soleil, nous souffrons d’un dérèglement hormonal (sérotonine, dopamine, mélatonine, etc.) qui entraîne :

. fatigue au réveil et lassitude dans la journée
. anxiété, irritabilité
. appétit pour les aliments gras ou sucrés avec prise de poids
. trouble du sommeil
. baisse de la libido et baisse de la concentration

En France, 20 à 30% d’entre nous seraient touchés par le blues hivernal tandis que 2 à 3% souffriraient d’une forme relativement handicapante de SAD, (syndrome affectif saisonnier). Parmi les personnes les plus sensibles, on trouve les urbains et ceux qui passent une grande partie de leur temps en intérieur en hiver, les personnes âgées et les jeunes mères.

Dans ses travaux, le psychiatre Norman Rosenthal a mis en évidence que l’organisme requiert un minimum de 2000 lux* pour équilibrer les rythmes biologiques. Or en hiver, la luminosité n’est seulement que de 500 lux. Pour pallier ce manque, il développe une médecine douce pour soigner ses patients atteints de SAD : la luminothérapie.

docteur Norman Rosenthal
Docteur Norman Rosenthal

Aujourd’hui, ce traitement est reconnu comme efficace par la majorité des pays européens et le système d’assurance maladie suisse le prend en charge après diagnostic du médecin traitant.

Un parallèle intéressant se fait entre notre bien être et celui des plantes. Tout comme les yeux humains, les végétaux d’intérieur ont besoin d’une exposition minimale de 2000 lux pour se sentir bien.

L’éclairage puissant (et indirect) qui est mis en place pour les murs végétaux agit comme un véritable centre de luminothérapie pour les personnes vivant auprès d’un mur végétal.

mur végétal luminothérapie

Couplée aux bienfaits naturels des plantes comme l’atténuation des pollutions sonores et la phytoépuration de l’air ambiant, les dispositifs lumineux du mur végétal apportent une valeur ajoutée à l’espace en le rendant plus accueillant, plus vivant et plus propice au travail et à la concentration.

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