Dernière mise à jour: 18 décembre 2022
Vous souhaitez installer un jardin vertical chez vous mais vous ne savez pas par où commencer ? Faire un mur végétal naturel est beaucoup plus facile qu’on ne l’imagine. Mais gare aux erreurs que vous pourriez regretter plus tard! Voici les éléments à prendre impérativement en compte dans votre réflexion.
Pour commencer, nous vous aidons à choisir entre et mur végétal naturel et mur végétal artificiel ou stabilisé. Dans cet article, nous vous expliquons par où commencer et quelles options considérer.
N’oublions pas, les aquariums et les terrariums sont entrés dans le quotidien de beaucoup de gens, alors qu’ils sont souvent beaucoup plus complexes à installer et entretenir. Le mur végétal a plutôt tendance à rendre très simple la culture des plantes, que ce soit en intérieur ou en extérieur.
Pas besoin d’avoir la main verte pour créer un jardin vertical. Cependant, il y a un certain nombre de facteurs indispensables à connaître. Alors, comment faire un mur végétal sans se tromper ?
À quel endroit installer un mur végétal intérieur ?
Où placer un mur végétal chez soi
Salon, chambres, salle de bain, grenier, cave, hall d’immeuble, descente d’escaliers, tout est possible.
Contrairement à ce qu’on peut lire ou entendre parfois, il n’est absolument pas dangereux d’installer un mur végétal dans sa chambre à coucher. En journée, grâce à la photosynthèse, les plantes rejettent de l’oxygène. La nuit, en l’absence de lumière, la photosynthèse s’arrête et les plantes respirent normalement, en rejetant du dioxyde de carbone. Toutefois, la quantité de CO2 rejetée la nuit par les plantes est insignifiante. Une plante verte dégage environ 40 fois moins de gaz carbonique qu’un être humain en train de dormir à côté de vous. Ce n’est donc pas ce jardin mural qui risque de nuire à votre sommeil ! Au contraire, les plantes permettent d’assainir l’air d’une pièce grâce à leurs vertus dépolluantes.
Installer un mur végétal dans une pièce sombre n’est pas un problème. Il suffit d’utiliser un éclairage qui fournit suffisamment de lumière pour les plantes. Certains jardins verticaux prospèrent dans des lieux dépourvus de toute lumière naturelle, comme des sous-sols ou des caves voûtées.
Si vous êtes locataire, sachez que les murs d’une superficie au-delà de 1-2 m2 doivent être bien fixés à votre mur porteur. Cela implique des nombreuses chevilles et des fixations dans le mur. Si vous n’avez pas l’autorisation pour ce type d’aménagement, optez pour des murs végétaux légers (du genre armoire ou module). Ceux-ci ne nécessitent que très peu d’efforts pour la fixation. Vous pourrez les déplacer au besoin. Neogarden propose notamment un mur végétal en kit, déjà planté, que vous recevez chez vous. Il fait 1 m2, à vous de l’accrocher au mur, comme un tableau.
Les endroits à éviter
Il n’existe pas de facteurs s’opposant totalement à l’installation d’un mur végétal en intérieur. Il est toutefois préférable d’éviter le soleil direct, car certaines plantes risquent de griller. De même, attention aux températures négatives, qui peuvent s’observer dans une véranda ou un jardin d’hiver. Enfin, placez le mur assez loin d’une source de chaleur, qui peut même être dangereuse dans le cas d’une cheminée.
Les couloirs étroits et très fréquentés ne sont également pas des emplacements idéaux. Bien qu’il existe des compositions végétales moins gourmandes en volume et en épaisseur, les végétaux s’y abîment plus vite du fait des nombreux passages.
Installer un mur végétal dans un commerce ou un restaurant
Si vous comptez fabriquer et installer un mur végétal dans un commerce ou un restaurant, il existe des emplacements stratégiques.
Les commerces optent pour un maximum de visibilité, afin d’inciter les clients à entraîner dans la boutique. Le jardin mural sera alors plutôt placé dans la vitrine, sur la devanture extérieure ou proche de l’entrée.
Dans un restaurant, le jardin vertical est parfait pour animer la salle, lui donner un aspect chaleureux et convivial et réduire l’écho. Il permet également d’encourager les clients à remplir les tables les moins occupées (arrière-salle, sous-sol, etc.).
Mur végétal : quelle technique choisir ?
Approche professionnelle
On fait la distinction entre plusieurs techniques de fabrication d’un mur végétal naturel:
- La méthode dite « Patrick Blanc », l’inventeur des murs végétaux. Elle consiste à fixer des panneaux de PVC expansé sur une armature, puis de les recouvrir de feutre horticole Il s’agit de la technique que nous utilisons chez Neogarden. Elle a le mérite d’être simple, efficace et durable. Elle est adaptée aux particuliers grâce aux kits à monter soi-même.
- La méthode en gabion « GreenWall » : assez basique, il s’agit d’empiler de grandes cages remplies de Sphaigne (mousse naturelle). Les plantes sont directement piquées dans la mousse à travers des mailles du grillage. Cette méthode est à réserver plutôt pour l’habillage extérieur. Elle présente l’avantage d’être plutôt facile à réaliser. Cependant, son entretien s’avère complexe quand il s’agit de remettre ou remplacer le substrat, qui se désagrège avec le temps. Ce dernier a tendance à se tasser et entraîne les plantes vers le bas du mur végétal.
- La méthode « Vertiss » : utilise des modules moulés remplis d’un substrat allégé. Elle est conçue plutôt pour les professionnels. L’avantage de cette méthode, comme pour GreenWall, est une simplicité l’installation. Ses inconvénients sont le poids et l’épaisseur du jardin vertical.
- La méthode « Flowall » : présente un principe similaire à Vertiss, mais plus facile d’accès aux amateurs. Elle n’est pas très bien adaptée pour l’extérieur, car elle présente un risque d’éclatement avec le gel.
- La méthode « Vertiflore » : approche industrielle. Des gabions métalliques aux proportions optimisées s’intègrent à des revêtements standards. Cette méthode est plutôt efficace dans un contexte de construction, mais nécessite une approche BTP, lourde à mettre en place pour un chantier domestique ou au bureau.
Mur végétal à faire soi-même
Le mur végétal DIY a la cote, car il est très simple et économe à installer. Cependant, il n’agit pas d’un « vrai « mur végétal, puisque le système n’est pas hydroponique et contient de la terre. Il permet tout de même d’embellir votre intérieur et de le rendre chaleureux et sain.
Pour créer votre propre jardin vertical, vous pouvez utiliser des pots à placer à des hauteurs variées. Cela vous permet de jouer aussi sur l’aspect esthétique des plantes : plantes tombantes dans des pots suspendus, par exemple.
Une autre option consiste à créer un jardin vertical en palette. Ce type de mur végétal en bois sera particulièrement adapté à un balcon ou une terrasse, si vous n’avez pas de maison. En plus de vous abriter du vis-à-vis, il accueille avec joie vos plantes aromatiques et petits légumes comme tomates-cerises et concombres. Il est parfait pour s’adapter à votre déco. Prévoyez d’avoir chez vous une agrafeuse à bois afin de monter la structure.
Mur végétal artificiel ou stabilisé
Il existe des murs végétaux artificiels, en plastique ou en végétaux stabilisés. Ils présentent un seul avantage, l’esthétique, et beaucoup d’inconvénients. Le stabilisé, en particulier, est une technique qui permet de remplacer la sève des plantes par un produit conservateur. Cette technique est relativement onéreuse et n’a rien d’écologique (présence de solvants). De plus, il est nécessaire de dépoussiérer ce type de mur très régulièrement avec un chiffon doux.
Quant au jardin mural en plastique : réfléchissez à quelle image vous souhaitez réellement donner à votre entreprise, à votre commerce. Celui d’une plante en pacotille, dans un esprit de greenwashing ? Ou bien mettre en avant votre réel intérêt pour la nature ?
Quelle est la taille idéale d’un mur végétal intérieur ?
D’une manière générale, plus un mur est grand, mieux la communauté végétale se porte. C’est aussi une réalité pour les écosystèmes semi-fermés comme des aquariums et des terrariums plantés. C’est doublement vrai pour un mur végétal. En effet, un écosystème a besoin d’une taille critique pour bien fonctionner. Les plantes s’entraident entre elles, le microbiote est riche et varié, les échanges nutritifs sont nombreux. Plus un mur végétal est grand, plus il résiste aux attaques telles que champignons, maladies, manque nutritif, etc. Ceci dit, la culture hydroponique réduit drastiquement l’apparition de ces problèmes car elle ne contient pas de terre.
Il existe un minimum de superficie en deçà duquel le mur végétal perd tout intérêt. Le plus petit mur végétalisé amplement fonctionnel connu à ce jour est vendu en kit. Il a une superficie de 1m² minimum. Mais il n’existe pas encore de maximum… Le plus grand à ce jour, mesure 2 000 m2.
Au-delà de 4 mètres de haut, le circuit fermé n’est plus envisageable. En effet, le modèle de pompe immergée est plus puissant et plus onéreux, et il ferait trop de bruit.
La question cruciale de l’éclairage
Si le mur végétal est placé sous une verrière ou derrière une vitrine, a priori, un éclairage artificiel est superflu. Dans tous les autres cas, il est indispensable. Dans 90 % des cas, vous avez donc besoin d’apporter un éclairage supplémentaire à votre mur végétal intérieur. Pour un mur extérieur, elle n’est a priori pas nécessaire, sauf dans une rue étroite et si l’exposition est peu ensoleillée.
En fonction de la luminosité de la pièce, on détermine la quantité d’éclairage à apporter pour assurer une bonne croissance aux plantes. Peu de lumière, peu de plantes. Pas de lumière pas de plantes. C’est un point décisif pour fabriquer un mur végétal qui tienne la route.
A l’extrême inverse, si l’exposition (type sud ou sud est, avec soleil direct) est trop fortement lumineuse, la mise en place d’un store ou d’une persienne est fortement recommandée pour prévenir les brûlures.
Spectre et intensité de l’éclairage
La lumière nécessaire n’est pas forcément d’un type spécifique. Néanmoins, plus son spectre est important, meilleure sera la croissance des plantes. Nous obtenons des bons résultats en mélangeant des spots de 3000°K et de 4000°K. Le °K correspond à la température de couleur. Plus celle-ci est basse, plus elle tire sur le rouge orangé (2000°K pour une flamme de bougie). Plus la valeur est élevée, plus elle s’approche du blanc-bleu (6000 °K pour l’extérieur au midi solaire).
Pour la croissance des plantes, l’autre unité utilisée est le lumen (lux). Il mesure la quantité d’ensoleillement (naturel ou artificiel) reçu par les plantes. Un mur végétal est considéré comme raisonnablement exposé lorsque l’on mesure en moyenne 1200/1500 lux sur toute la surface. Pour obtenir une valeur suffisante de lumen, il faut tabler sur 15-20 W au m² avec un éclairage LED. Pour mieux ajuster cette valeur, sachez que plus la hauteur de votre mur végétal est importante – plus puissants doivent être vos spots.
Globalement, la bonne distance pour placer une ligne d’éclairage est 1 mètre de distance du mur de support.
A savoir : il faut compter environ 15€/an sur la facture d’électricité pour éclairer un m² de mur végétal.
Quelles plantes choisir pour un mur végétal intérieur ?
Contrairement à ce qu’on pourrait penser, il n’y a pas que les plantes épiphytes (poussant sur une autre plante) qui peuvent s’épanouir sur un mur végétal. De nombreuses espèces sont bien adaptées. Un article complet traite cette question : Quelles plantes choisir pour un mur végétal ?
Ce qu’il faut savoir, c’est que toutes les plantes d’intérieur supportant la culture hydroponique (sans terre) sont de bons sujets pour le mur végétal. Certaines sont intéressantes pour leur feuillage, d’autres pour leur floraison. En hydroponie, les plantes ont souvent les racines humides en permanence. C’est pourquoi certaines plantes ne sont pas adaptées, ou alors nécessitent un mur végétal où elles sont la seule espèce.
On évitera les plantes particulièrement sensibles à une humidité racinaire constante, type cactées ou succulentes (à quelques exceptions près, Rhipsalis, par exemple). Les orchidées sont également trop exigeantes pour s’épanouir sur un jardin vertical multi-espèces.
Les variations de lux (voir notre article sur l’éclairage) entre le haut et le bas du mur végétal peuvent être significatives pour le choix des plantes. Traditionnellement, on mettra les plantes moins gourmandes en lumière en bas de la composition.
Comment arroser un mur végétal ?
Le mur végétal est un système basé sur la culture hydroponique. Il s’agit d’une culture sur base de substrat inerte (feutre horticole ou sphaigne), irrigué par une solution qui apporte eau et sels minéraux à la plante. L’arrosage est donc au cœur de l’ouvrage et doit être considéré avant de commencer à fabriquer le mur végétal. Il doit être fonctionnel et efficace.
Bien que ce soit plus pratique, sachez qu’il n’est pas indispensable de faire poser une arrivée d’eau et une évacuation.
On distingue deux types de schéma d’arrosage :
- Circuit fermé: un bac contient des pompes immergées. Celles-ci sont connectées à des programmateurs et reliées à un réseau de tuyaux poreux ou microperces, qui acheminent l’eau jusqu’au haut du mur. La solution nutritive imbibe le substrat et descend par gravité jusqu’au bas du mur, où le surplus d’eau est récupéré avant de retourner dans le circuit pour un nouveau cycle.
- Circuit ouvert: une armoire d’arrosage, comprenant entre autres un Dosatron, des électrovannes et des programmateurs, est reliée à une arrivée d’eau. Il n’y a pas de bac de rétention dans ce circuit. Une simple évacuation est installée à la base du mur végétal.
Selon les cas de figure, on privilégiera l’une ou l’autre solution technique. On peut d’ores et déjà dire que le système par injection d’engrais (armoire d’arrosage) est rarement utilisé pour les petits jardins verticaux. Il est plus souvent mis en place pour des compositions de taille supérieure à 6-8 m2.
Pour mieux accorder le mur végétal à votre déco, le système d’arrosage (bac ou armoire) peut être désolidarisé du mur végétal et être monté dans une pièce annexe, derrière une cloison ou au sous-sol.
Précautions à prendre
Y a-t-il un risque de fuite d’eau ? Lorsque l’installation a été réalisée par un professionnel, le risque de fuite est négligeable.
L’humidité du mur végétal n’est jamais un problème, au contraire, les plantes produisent une hygrométrie saine pour les hommes et les animaux.
Pour éviter les éventuelles odeurs, assurez-vous que l’entreprise n’utilise pas de feutre horticole en fibre de coton pour réaliser le substrat. En plus d’avoir une durée de vie limitée, ce tissu dégage une mauvaise odeur de linge mouillé lorsqu’il se désagrège. C’est pourquoi nous utilisons du feutre horticole imputrescible.
Quelle est la bonne fréquence pour arroser un mur végétalisé ?
Cette question divise la communauté des artisans et installateurs de murs végétaux. Il est évident qu’une attention très particulière doit être portée à l’hygrométrie de la structure.
Le mur végétal doit être humide en permanence, sans pour autant noyer les racines de plantes. C’est la base.
Notre expérience fait apparaître deux évidences :
- Un substrat à base de terreau ou de Sphaigne peut être arrosé un fois par jour en été et une fois tous les deux-trois jours en hiver.
- Un substrat neutre comme le feutre horticole, des mélanges à base de roches volcaniques, de pouzzolane ou billes d’argiles ont besoin d’une irrigation plus régulière, de 6 à 24 fois par jour.
Pour plus de conseils, consultez notre dossier spécial Arrosage.
Comment entretenir un mur végétal ?
On distingue deux types d’entretien :
- les soins aux végétaux : nettoyage, ajout/suppression de plantes, veille sanitaire, remplissage du bac avec l’eau courante.
- la maintenance des systèmes : surveillance/remplacement des programmateurs, de l’éclairage, des pompes, élaboration du mélange nutritif.
Le premier poste est généralement assuré par le particulier. La société spécialisée gère le second, qui demande moins d’interventions mais nécessite davantage de connaissances techniques.
Les entreprises clientes délèguent souvent l’ensemble des tâches à un prestataire.
Combien coûte un mur végétal ?
Coût à l’installation
Le prix du marché se situe entre 500 et 1000€ le mètre carré.
Plus la superficie de votre mur végétal est importante, plus le prix de l’installation au m2 baisse, car le coût des équipements (pompe, programmateurs) sera mieux réparti.
Un mètre carré seul, installé par un professionnel, coûte actuellement environ 1200-1800€. Un kit à monter soi-même est moins onéreux.
La fourchette de prix est large en fonction des techniques utilisées, des options et des cas de figure. Le choix d’un système d’irrigation (ouvert ou fermé), des découpes dans le panneau végétalisé, des finitions influent également sur le prix final.
En deçà de ce tarif, vous n’aurez d’autres choix que de le fabriquer vous-mêmes avec un prix de revient encore assez important.
Prenons un exemple d’un mur végétal de 5 m2 avec la technique “Patrick Blanc”. Il faut compter:
- 500-800€ pour les plantes,
- 100-600€ pour le bac, en fonction de son esthétique et les matériaux utilisés
- 180€ pour les pompes
- A cela s’ajoute le prix du panneau PVC (30€/m2) ou Polycarbonate alvéolaire (10€/m2)
- du feutre (3-12€ le m2), en raison de 2-3 couches nécessaires
- des finitions et des diverses fournitures, tuyaux, connectiques, etc.), environ 100€
Coût d’entretien à l’année
Pour un mur végétal de 5 m² à Paris, comptez :
- Facture d’eau (fourchette haute) : 3,28€/m3 d’eau, soit 60€/an en circuit ouvert, contre 6€/an en circuit fermé.
- Facture d’électricité (fourchette haute) : 0,14€/kW, équipé d’un éclairage LED (7 x 20) W, soit environ 85€/an.
Le mur végétal est-il écologique ?
Cela dépend en grande partie des politiques internes à la société et de la philosophie de travail de leurs fournisseurs.
Les murs végétaux utilisant une grande quantité de Sphaigne (majoritairement importée du Chili) n’entrent pas dans une démarche de développement durable. Il s’agit notamment de la technique Greenwall (gabions remplis de Sphaigne). En effet, cette mousse naturelle est une ressource limitée qui met du temps à se renouveler. Privilégiez les entreprises utilisant le feutre horticole.
De plus la plupart des sociétés utilisent des engrais de synthèse pour préparer la solution nutritive. Toutefois, les engrais d’origine biologique existent et sont aussi efficaces. Avec les jardins verticaux, la logique n’est pas celle du rendement à tout prix. Les plantes vertes sont rarement des grosses consommatrices de fertilisants.
Pour ce qui est du circuit d’arrosage dit « ouvert », assurez-vous que le reste de la solution nutritive passe bien par le circuit d’eau usée. L’eau pourra ainsi être traitée. Les pollutions aux nitrates (minéraux non assimilés) sont principalement dues aux épandages à grande échelle de l’agriculture. Les fertilisants saturent les écosystèmes et se retrouvent dans les sols, dans les cours d’eau et les nappes phréatiques sans qu’il ne soit possible de les traiter.
Enfin, dans la lutte contre les parasites (cochenilles, pucerons, acariens), il existe deux approches : la méthode conventionnelle (emploi de produits chimiques toxiques) et la protection biologique intégrée, bien adaptée aux cultures hors-sol (traitement foliaire bio, utilisation d’auxiliaires de culture).
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